(12) Le tracé jaillit

Au cours de ces journées de promenades et d’expériences partagées avec ma première amie marocaine, le tracé jaillit spontanément et me rend quelque peu la paix que me volent les mots. Presque sans m’en rendre compte, une photo d’un moment agréable de la journée devient, le soir, un dessin simple, léger, frais… et qui apparaît en un instant. Sans penser, sans réfléchir, par le biais d’un tracé novice mais qui veut s’exprimer.