C’est à cause de cette suggestion de Carme, du souvenir des jolis dessins faits lorsque j’étais haute comme trois pommes et des conversations avec ma mère et Teresa que, le jour avant mon départ pour Essaouira, je suis allée à la librairie pour échanger le stylo plume que m’avaient offert Alba et Laia. “Je ne sais pas si je vais l’utiliser, … je pourrais l’échanger contre des couleurs…” avais-je pensé.