Je relis ces grands poètes catalans et j’ai presque honte de glisser mes poèmes à côté des leurs, même pour rappeler qu’ils sont source d’inspiration. Les miens semblent tellement peu de chose… mais quand je les montre et que je vois les réactions, ils reprennent vie de suite et deviennent particuliers et jolis.
Lorsque je lis
les poèmes de Garriga,
Carner ou Margarit,
je regarde les miens
et ils deviennent petits petits….Lorsque tu dis
que tu les aimes
je vois de loin
qu’ils me reviennent
Ils réapparaissent grands grands…Çá me fascine
que tu aimes
mes poèmes.