Je reçois un courriel de Toni Coromina qui me dit que mon père lui a présenté des impressions accompagnées de dessins et de “fantastiques poèmes “minimalistes””. Il me dit qu’ils sont très bien, sans outrance ; que le plus difficile en littérature est d’écrire simplement, sans ornement superflu et en allant droit au but, en synthétisant. “Tes poèmes ont l’air de chansons… E la nave va…”.
Prendre la lumière
et la laisser repartir
peu à peu.
Étirer un souvenir,
imaginer un futur
et égrener
les petits pois
d’un joli poème.